Le cancer et la maladie d'Alzheimer cumulent les expressions souvent extrêmes de la maladie grave. L'objectif de l'auteur est de faire comprendre que les personnes malades ne sauraientt être ramenées à la condition du cancéreux ou du dément, et d'envisager autrement la relation de soins et les considérations d'ordre éthique liées aux pratiques professionnelles.